Sunday, April 7, 2019

Ebook BU-Les archives de Stanley Kubrick

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BU-Les archives de Stanley Kubrick

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BU-Les archives de Stanley Kubrick

Détails sur le produit

Relié: 859 pages

Editeur : TASCHEN; Édition : Français (24 août 2016)

Collection : Pop Culture, Lifestyle et Mode

Langue : Français

ISBN-10: 3836556863

ISBN-13: 978-3836556866

Dimensions du produit:

14 x 19,5 cm

Moyenne des commentaires client :

5.0 étoiles sur 5

4 commentaires client

Classement des meilleures ventes d'Amazon:

61.137 en Livres (Voir les 100 premiers en Livres)

Je suis un fan modéré de Stanley Kubrick, il y avait un moment que je voulais posséder ce livre édité chez Taschen, un excellent éditeur de plus. J'ai presque l'intégralité des films à l'exception de "Killer'Kiss" et "Fear and Désiré", ce livre contient les coulisses de ses réalisations ce que ne possèdent pas les blu-ray. Et le tout pour un prix modique de 15 Euros. J'en suis très satisfait.

Formidable contenu dans les textes pleins d informations et d une richesse iconographique excellente...

Ce dense ouvrage fut publié en août 2016 aux Éditions Taschen collection Bibliotheca Universalis, souvent considérées comme économiques. Il est « édité par Alison Castle » - que l’on peut considérer comme l’auteur, mais avec les contributions importantes, précieuses et validées par les plus proches collaborateurs du cinéaste mentionnés sur la page titre : son épouse Christiane Kubrick, Jan Harlan son frère et donc beau-frère de SK – qui sera son producteur, de « Orange Mécanique » jusqu’à sa mort - ainsi que le Stanley Kubrick Estate. L’on peut donc considérer que les archives et carnets du réalisateur lui furent ouverts en toute confiance. Son épouse signe même une petite postface.Mais on lira de nombreuses contributions ultérieures, comme Michel Ciment lui-même qui intervient pour « Orange Mécanique » et « Barry Lyndon » et des intervenants spécifiques au long des films, comme des extraits de mémoires de Tony Curtis, Sir Peter Ustinov et Kirk Douglas pour « Spartacus » ou des scientifiques pour dépasser la pellicule de « 2001 » sur une éventuelle vie étrangère à notre système.L’auteure du livre se cite personnellement, notamment lors du chapitre des « Sentiers de la gloire » puis page 421, lors des développements de « 2001 » : « En septembre 1965, date à laquelle je suis allé travailler pour lui. » Déjà l’on repère une faute d’orthographe – qui ne s’accorde pas au genre qu’il faut – mais cette citation nous renseigne sur son âge et son expérience précieuse aux côtés du cinéaste. Et plus loin, page 442 : « Pour avoir brièvement connu le créateur de « 2001 » ».Alison Castle possède une licence en philosophie de la Columbia University ainsi qu’une maîtrise en photographie et en cinéma de la New York University (NYU/International Center of Photography). Elle a dirigé des ouvrages dans les domaines de la photographie, du cinéma et du design, et outre cet ouvrage, notamment « Some Like it » « Hot, Linda McCartney – Life in Photographs » et « Marc Newson : Works ». Elle a ici réalié un patient travail de deux années sur le matériau si dense des archives du réalisateur.Stanley Kubrick (1928-1999) : passionné par le jazz jusqu’à être joueur amateur, il devient photographe lorsque ses parents lui offrent un appareil, pour compenser ses mauvais résultats scolaires. Il vendit une première photo puis se tourna vers la forme d’expression qu’on lui connait le mieux. Il était romantique d’après sa femme.On l’a souvent et tant de fois décrit distant, froid, glacial, exigeant, implacable, extrêmement méticuleux et perfectionniste acharné, et devenant de plus en plus lent dans son expression. Avec du culot, de la provocation sous son air bonhomme et au fur et à mesure du temps sa grande barbe en collier qui lui mangeait le visage. Lié au scandale, il a cherché à marquer et choquer son spectateur mais aussi a voulu déployer des concepts, des idées abstraites amenant l’ironie et la tristesse du passage des années, les travers de nos sociétés, comme notre solitude même au sein du couple. Comme les peurs et désirs, traduits dans son premier long métrage renié, « Fear and desire ».Grand joueur d’échecs, il n’était pas reclus, et a lui-même démenti cette rumeur. Il demeurait fortement connecté au monde qui l’entoura, lisant tous les matins des journaux et passant de nombreuses heures au téléphone. C’est un élément de la légende kubrickienne…Cet ouvrage est plutôt un beau complément aux livres essentiels parus en français : « L’humain, ni plus ni moins » de Michel Chion et la biographie magistrale de Michel Ciment parue initialement en 1980 puis remise à jour en 1984 puis après la mort subite du cinéaste.Son seul point faible est le format assez petit (15x20 cm) et l’on voit qu’il n’aborde pas tout. Mais son atout immédiat a contrario est un prix très attractif. Et l’on repère aussi de-ci de-là quelques fautes d’orthographe isolées mais sans véritablement gêner la lecture.Il semble être un grand pavé mais il se lit rapidement, diversifiant ses écrits, insérant des vues de scripts et de nombreuses photos d’extraits de films ou de tournages en studios, certaines inédites car jamais encore développées ou visionnées. Avec une chronologie assez complète proposée en fin de volume, mêlant vie personnelle, progression de son travail, moments clés de son élaboration artistique, abordant des sujets en rapport avec son art. La lecture est rendue fluide par la disposition des photos et les nombreux documents visuels – comme des photos des pages de script et dialogues des films mêmes - qui viennent illustrer et compléter chacun des films disséqués. Il est donc idéal pour commencer ou parfaire justement la connaissance que chacun peut disposer du réalisateur.Les films de S. Kubrick ont tous cette caractéristique : une première vision qui peut être décevante mais qui va venir immanquablement travailler et hanter le spectateur par les sujets abordés, l’empreinte forte laissée, une nouvelle manière de montrer et filmer. Et donc tous se rehaussent sans peine.Il a abordé de multiples genres différents cinématographiques, pour parvenir à ce que quasiment chacune de ses œuvres devienne la référence dans son domaine ou du moins un jalon crucial de l’histoire cinématographique. Comme le maître étalon de chaque genre, qu’il a comme voulu épuiser par chacun de ses films. Il a toujours souhaité innover techniquement pour l’objectif de ses différentes caméras, suivre ses idées de cadre et mise en scène. Il soumettait ses vœux et ses techniciens tachaient de lui répondre favorablement. C’est donc bien l’envie et l’intuition qui devançaient la nécessité.Et pour tous les fans ou seulement amateurs de ce Maître l’on plonge avec plaisir dans cette lecture, où l’on apprend toujours des faits précieux le concernant.Le livre dévoile le processus créatif de Kubrick grâce à des documents passionnants extraits des archives du cinéaste, parmi lesquels des éléments de conception des décors, des croquis, des lettres, des scénarios, des esquisses, des notes, photographies parfois de lui-même et des plans de tournage.Il commence avec trois courts-métrages de ses débuts, et respecte le vœu du réalisateur de ne pas accepter pour la postérité le premier long métrage de sa filmographie, « Fear and desire » (1953) (connu sous son 13ème film – sinon son œuvre se cantonne à douze, à partir du « Baiser du tueur » (1955)).L’on confirme et l’on plonge dans la préparation de plus en plus longue de ses films, s’impliquant beaucoup et contaminant avec passion ses collaborateurs.« Stanley Kubrick était un lecteur avide et éclectique depuis son plus jeune âge. »Tous ses films partirent de romans et en furent des adaptations, hormis ses 3 premiers courts-métrages, son film officieux « Fear and desire » et son premier « officiel », « Le baiser du tueur ». Il créa même un opus avec Arthur C. Clarke pour « 2001 », publié en même temps que la sortie du film, fruit de leur contribution commune avant que l’écrivain prenne le relai. Alors qu’il remania « Lolita » et contribua à « 2001 », son nom ne fut pas cité au générique. Est-ce à dire qu’il lui fallait un élément déclencheur, une matière existante, une étincelle et qu’il n’osait pas inventer lui-même une histoire ?L’on apprend aussi que SK devait réaliser le western « La vengeance aux deux visages » avec Marlon Brando mais suite à des différences de vues ce fut ce dernier qui le réalisa.A la fois les projets sont dus au hasard de trouver un livre, ou à la ténacité de garder longtemps un sujet. Il révèle dans une discussion en 1957 qu’il recherche des romans « pas très réussis » à adapter, afin de les rehausser ensuite par sa réalisation. Il ne pouvait le pratiquer des grands chefs-d’œuvre littéraires.Sont aussi évoqués le projet avorté de « Napoléon », à cause de la sortie au même moment de « Waterloo », où le public ne fut pas au rendez-vous et les studios se désistèrent. Comme celui de « Aryan Papers » sur l’Holocauste, contrecarré par la sortie de « La liste de Schindler. »Et celui de « A.I Intelligence artificielle », projet longuement préparé mais dont il voulut confier la réalisation à Steven Spielberg, qui s’accordait selon lui davantage à son style futuriste.Visionnaire, démiurge, agnostique, ambitieux, directif, pessimiste, cérébral et intellectuel, conceptuel, exigeant, provocateur, voulant tout contrôler sur ses films, méticuleux, s’impliquant dans tout même dans les détails, maniaque, concentré, perfectionniste, esthète, audacieux, dévot pour son art, irrévérencieux par certains de ses films, parfois glaçant, critique, sans compromis, voulant toujours réaliser de manière nouvelle, extraverti sur ses films et secret en privé, se remettant en cause, protégeant ses proches…Ses ambitions artistiques : une conviction intime, la volonté et une implacable précision voire maniaque, son goût du contrôle et du perfectionnisme, et la sauvegarde de son impitoyable exigence malgré la frustration des producteurs de ses films, impatients de visualiser un produit fini.Merle Chamberlin, administrateur de post-production à la MGM qui travailla vingt semaines durant avec SK pour « 2001 » dit de lui : « Travailler avec Stanley Kubrick fut une expérience merveilleuse, à la fois très agréable et formatrice. Il sait ce qu’il veut et comment l’obtenir, et il ne s’arrête jamais avant d’avoir obtenu l’absolue perfection. (…) Il reste toujours calme et mesuré même quand tout va de travers. Il relève tout simplement le défi avec un dévouement extraordinaire et ne lâche pas prise avant d’avoir atteint son objectif. (…) En tant que combinaison entre le technicien hautement qualifié et l’artiste créatif, Kubrick est le maître absolu. »Mais avec comme ambition ultime d’aller peut-être au-delà de l’image avec l’œil de la caméra, dévoilant l’intimité de ses acteurs, devant rechercher au plus profond de leurs émotions et ressenti. Essayant de passer à travers les êtres, en leur laissant cet immense luxe et en même temps cette pression constante de jouer les scènes autant de fois tant qu’il n’était pas satisfait.« C’est ce que l’on ressent durant l’expérience qui importe, et non la capacité de la verbaliser ou de l’analyser » explicitera Kubrick en 1968, notamment et justement à propos de « 2001 ».La nécessité le conduit à connaître les différents métiers techniques du plateau sans vouloir paraître condescendant mais frustrant son directeur de la photographie dans la superproduction « Spartacus », qui lui fut imposée et dont lui-même se qualifia « d’employé ». Un peu comme Roman Polanski qui dut tout faire à ses débuts et développer cette science de la photographie et du son, SK s’assura de la direction de la photographie sur ses premiers opus.Une esthétique audacieuse, des films qui dérangent toujours, faisant face à ce qui n’était pas prévu, s’autorisant à rebondir sur des projets imprévus. Une brillante force créatrice. Pour autant élitiste ?Associant ses collaborateurs comme l’aboutissement d’un travail collectif, mêlant à la fois l’exigence d’un cinéma d’auteur avec la griserie du cinéma à grand spectacle ou une intimité lente et recherchée, il a repoussé bien des limites de son époque.N’est pas évoqué il me semble, celui qui se fit passer pour lui des années durant ; c’était un épiphénomène qui n’amena pas de réaction de sa part : il ne voulut pas entrer dans le jeu.On aurait pu ici mentionner nombre de ces éléments appris, éclairés, expurgés ou remis à jour ; mais le mieux est que le lecteur l’effectue lui-même, selon ses propres connaissances.L’auteur cite une citation de SK de 1972 : « Le véritable test pour une œuvre d’art, en fin de compte, c’est l’affection qu’on lui porte, et non pas de pouvoir expliquer pourquoi elle est bonne. »Un livre qui fait le tour de son propos où le lecteur découvre ou confirme ce qu’il savait déjà , nous fait chaud au cœur de demeurer encore avec lui et son univers.

Beaucoup d'atouts :le texte est en français ... or , c'est important , car il y a vraiment beaucoup à lire : tout lire dans l'édition en anglais , cela peut être vite lassant ...Donc , vu le prix modique de cette édition française en format gros livre de poche , il est concevable d' acquérir , plus tard , l'édition en anglais , pas prohibitive d'ailleurs , en grand format allongé , si l'on souhaite une présentation plus aérée et de plus grandes photos ...Beaucoup de commentaires donnent la parole à Kubrick , ce qui me semble très pertinent , lorsque le créateur est aussi lucide et intelligent ...Mise en page raffinée et agréable , malgré le format moyen de l'ouvrage .Bonne reliure solide .Bref , un rapport qualité/prix réellement remarquable ( ouvrage fabriqué en Chine ...) .

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